Editeur : Presses de la Cité
Prix : 21.50 €
Nombre de pages : 512 p.
Genre : Thriller
Résumé :
Quand Malone, du haut de ses trois ans et demi, affirme que sa maman n’est pas sa vraie maman, même si cela semble impossible, Vasile, psychologue scolaire, le croit. Il est le seul… Il doit agir vite. Découvrir la vérité cachée. Trouver de l’aide. Celle de la commandante Marianne Augresse par exemple. Car déjà les souvenirs de Malone s’effacent. Ils ne tiennent plus qu’à un fil, qu’à des bouts de souvenirs, qu’aux conversations qu’il entretient avec Gouti, sa peluche. Le compte à rebours a commencé. Avant que tout bascule. Que l’engrenage se déclenche. Que les masques tombent. Qui est Malone ?
Enfin ! Enfin, en tant qu'amatrice de thrillers comme vous le savez, j'ai lu mon premier Bussi ! Il était temps, avec la bonne réputation de cet auteur.
Je suis ravie de m'être enfin lancée car Maman a tort est une vraie réussite.
C'est le genre de thriller dans lequel on entre directement. Les premières phrases de l'auteur nous happent et on tombe dans un tourbillon duquel il est difficile de s'extraire.
On débute avec le récit d'un enfant, plein de métaphores, d'images, en parallèle d'une situation réelle; une scène d'aéroport, dont on ressent l'urgence, la fuite.
A partir de là, j'ai eu la sensation de course effrénée tout le long du roman. Les histoires s'entremêlent au rythme des chapitres aux différents points de vue.
L'histoire de Malone, enfant peureux, perturbé, quasiment muet, soutenant que sa maman n'est pas vraiment la sienne. L'histoire d'un braquage à plusieurs millions d'euros, orchestré au millimètre, mais qui tourne mal. Celle de la commandante Augresse et de ses collègues de la police, celle d'Angie, la jeune et jolie coiffeuse, sa meilleure amie inoffensive.